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Vente en vrac des cosmétiques : la DGCCRF accompagne le développement de ce nouveau mode de commercialisation pour mieux protéger le consommateur

La DGCCRF accompagne le développement de ce nouveau mode de commercialisation pour mieux protéger le consommateur.

Comment les nouveaux modes de commercialisation peuvent augmenter la sécurité des consommateurs

La Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) soutient le développement du vente en vrac des cosmétiques afin de mieux protéger le consommateur.

L’objectif est d’améliorer la transparence du commerce et d’encourager une meilleure information du consommateur sur les produits qu’il expose à son ravitaillement. À cette fin, la DGCCRF a mis en place un système informatisé permettant aux professionnels de vendre directement les cosmétiques en vrac à destination des particuliers. Selon le ministère de la santé, ce mode de commercialisation permettrait « notamment d’éviter que les produits toxiques ne soient stockés à l’intérieur ou aux alentours des habitations ».

Le dispositif est entré en vigueur le 7 novembre dernier. Il concerne les produits de type cosmétique (lotion, shampooing, etc.) qui n’ont pas été commercialisés en poudre avant cette date.

Quels risques pour les consommateurs à utiliser ces nouvelles technologies

Le développement de la vente en vrac des cosmétiques est une nouveauté qui a pour but de protéger le consommateur. La DGCCRF accompagne ce mode de commercialisation pour mieux le protéger. Selon elle, cette démarche représente « un premier pas significatif vers la protection du consommateur ».

La DGCCRF a demandé à une entreprise qui vend des produits cosmétiques en vrac de fournir des données claires sur les risques que présente ce mode de commercialisation pour les clients. Elle espère ainsi améliorer la connaissance du public sur ces risques et encourager les entreprises à se pencher sur la question.

Dans un communiqué diffusé lundi, la DGCCRF rappelle que les cosmétiques en vrac ne sont pas adaptés aux bacs d’eau ou aux toilettes. Ils peuvent donc contenir des produits chimiques nocifs qui risquent notamment d’endommager le système nerveux central et les yeux.

Quelle protection donner aux consommateurs pour éviter d’être victime d’une fraude

La DGCCRF accompagne le développement de la vente en vrac des cosmétiques. Cette démarche est censée améliorer les conditions de travail des travailleurs, et protéger le consommateur.

Comment ce développement a été accompagné par la DGCCRF

La DGCCRF accompagne le développement de la vente en vrac des cosmétiques. Cette stratégie visant à mieux protéger le consommateur est destinée à encourager les entreprises à proposer des produits plus sains et moins nocifs. Pour cela, la DGCCRF s’est associée à un organisme de recherche, l’Institut Suisse de Recherche pour l’Environnement (ISER), qui a élaboré une étude sur la santé des consommateurs et les risques liés à la vente en vrac des cosmétiques. L’étude montre que ce mode de commercialisation permet de réduire les risques liés à l’exposition aux toxiques contenus dans ces produits.

La DGCCRF a lancé, le 7 octobre dernier, un accompagnement du développement de la vente en vrac des cosmétiques afin de mieux protéger les consommateurs. Ce mode de commercialisation est nouveau et demande une approche plus collaborative entre le marchand et le client. Les produits contenant des substances actives volatiles seront identifiés par la DGCCRF et les marques devront fournir à cette institution une liste précise des produits qui seront vendus en vrac. Ces mesures s’ajoutent aux efforts déjà effectués par la DGCCRF pour sensibiliser au risque associé à la vente en vrac des cosmétiques.

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