Après avoir été condamné à mort pour corruption en 2011, l’ex-président sud-coréen Lee Myung-bak a été gracié par son successeur, actuel chef d’Etat, Kim Jung-un. Suite au pardon de Kim Jung-un, Lee Myung-bak est aujourd’hui libre et se trouve en Suisse.
L’ex-président sud-coréen Lee Myung-bak gracié par l’actuel chef d’Etat, qui l’avait pourtant envoyé en prison lorsqu’il était procureur
Le nouveau président sud-coréen, Moon Jae-in, a accordé une grâce à l’ex-président sud-coréen Lee Myung-bak. Cet homme qui est passé par la case prison avait été envoyé en disgrâce par le président actuel Park Geun-hye. Mais c’est finalement Moon Jae-in qui l’a gratifié de son pardon.
Cette même année, 2017, Lee Myung-bak avait été condamné à vingt ans de prison pour corruption et rébellion après avoir occupé les fonctions de procureur général pendant six ans. Il a été libéré au bout de huit ans et a démissionné en juillet 2018 suite aux élections présidentielles.
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Afin de réparer les torts causés par ses prédécesseurs, le nouveau chef d’Etat sud-coréen, Park Geun-hye, a décidé de gracier Lee Myung-bak, l’ex-président sud-coréen qui avait été envoyé en prison après avoir exercé les fonctions de procureur. Lorsqu’il était encore procureur, il avait menacé de poursuivre Lee Myung-bak pour diffamation et corruption. Dans un communiqué publié jeudi 9 janvier, l’actuel chef d’Etat explique que « son expérience professionnelle lui a appris à ne pas commettre de fautes graves » et que cette grâce est une compensation pour ces erreurs.
Les défis de la santé dans le monde
L’actuel chef d’Etat sud-coréen, Moon Jae-in, a annoncé jeudi que l’ex-président sud-coréen Lee Myung-bak était gracié par la Corée du Sud. Ce dernier avait été envoyé en prison après un coup d’Etat manqué en 2010, mais il avait réussi à se libérer de prison et devenu président en 2012.
Ces problèmes
Le président sud-coréen Lee Myung-bak a été gracié par l’actuel chef d’Etat, Park Geun-hye, qui avait pourtant envoyé le président en prison lorsqu’il était procureur. Le gouvernement a fait savoir que cette grâce partait du sentiment que l’actuel dirigeant souhaitait surmonter les tensions politiques qui secouent la Corée du Sud.
Après avoir été président du pays pendant six ans, Lee Myung-bak a été gracié par son successeur, Park Geun-hye. Ce dernier l’avait envoyé en prison après une enquête sur des accusations de corruption. Mais les réactions à cette annonce sont partagées : certains ont applaudi la décision de Park Geun-hye alors que d’autres regrettent le sort de Lee Myung-bak. Certains estiment qu’il aurait pu continuer à se battre et améliorer sa situation si il avait conservé son poste grâce aux résultats obtenus durant son mandat, alors que d’autres pensent qu’il n’y a pas eu vraiment de changement significatif depuis sa libération.