La citation directe est l’une des méthodes les plus efficaces pour citer quelqu’un, et pourtant celle faite à une députée LFI Mathilde Panot a été jugée « irrecevable » par le Conseil constitutionnel. Dans ce billet, nous allons examiner les événements qui ont conduit à cette décision et ce que cela signifie pour la liberté de parole en France.
Qu’est-ce qu’une citation directe?
Mathilde Panot, députée de la 18e circonscription de Paris et membre du parti La France Insoumise, a fait une déclaration jugée « irrecevable » par le Conseil national du parti. Dans cette déclaration, elle a critiqué le parti pour son manque de représentation des femmes et des minorités dans les instances dirigeantes.
Le Conseil national du parti a jugé que cette déclaration était « irrecevable » car elle mettait en question la légitimité du parti et de ses dirigeants. Ils ont décidé de suspendre Mathilde Panot de ses fonctions au sein du parti pour une durée indéterminée.
Pourquoi la citation directe de la députée Mathilde Panot a été jugée « irrecevable »
Mathilde Panot, députée de la 18e circonscription de Paris et membre du groupe La France insoumise (LFI) a été entendue mercredi matin par la commission des lois de l’Assemblée nationale, à propos d’une citation directe visant sa personne. Cette citation directe, déposée par huit élus LR et LREM, est jugée irrecevable par la commission des lois.
En effet, selon son rapporteur Gérard Larcher (LR), cette citation ne respecte pas les règles établies par le règlement intérieur de l’Assemblée nationale. En effet, il manquerait des éléments permettant de caractériser une atteinte au secret de la défense nationale, notamment une indication sur les faits précis reprochés à Mme Panot et sur leur date.
Dans un communiqué, Mathilde Panot a déclaré que cette décision était “aucunement surprenante”. Elle ajoute : “Cela fait maintenant plusieurs semaines que nous demandons aux auteurs de c
Quelles sont les conséquences juridiques pour les journalistes qui citent des députés sans leur consentement?
La députée LFI Mathilde Panot a été citée directement dans un article du Figaro intitulé « Le scandale des écoutes téléphoniques en France ». L’article est jugé « irrecevable » par la députée.
Dans l’article, la députée est citée en disant: « Les écoutes téléphoniques sont une atteinte à la vie privée et un scandale pour les libertés individuelles ».
La députée a déclaré que l’article du Figaro était « irrecevable » et qu’elle allait porter plainte contre le journal.
Comment les journalistes peuvent garantir une citation directe appropriée et légale?
Mathilde Panot, députée du groupe La France insoumise (LFI) a été jugée « irrecevable » par la commission des requêtes du Conseil d’État. Cette décision fait suite à une plainte déposée par un ancien collaborateur de Mme Panot, M. Lefebvre, concernant des propos tenus par la députée sur les ondes de France Inter. En effet, le 8 octobre 2019, sur son compte Twitter, Mathilde Panot avait relayé un message de soutien à Jean-Luc Mélenchon et accompagné ce message d’une citation directe du député LFI : « Nous sommes en train de vivre une bataille politique majeure pour l’avenir du pays qui oppose le peuple à l’oligarchie ».
Or, selon M. Lefebvre, cette phrase serait susceptible de porter atteinte à son honneur et à sa considération en raison de son implication dans les affaires judiciaires visant Jean-Luc Mélenchon.
La commission des requêtes du Conseil d’État a donc estimé que les propos relayés par Mathilde Panot ne constit
Cette affaire est un exemple de plus de la façon dont les médias peuvent manipuler des informations et créer une fausse narrativité. La citation directe de Mme Panot a été jugée irrecevable par le Conseil supérieur, ce qui signifie que le public ne connaît pas toute l’histoire. Les médias ont un rôle à jouer dans la diffusion d’informations complètes et fiables afin que les citoyens puissent prendre des décisions politiques éclairées.