Georges Bensoussan, historien et membre de l’Académie française, ouvre une nouvelle exposition à Paris pour se souvenir des Juifs – mais pas exactement pour les raisons qu’il pourrait souhaiter.
Le divertissement : une marchandisation à l’état brut
« Divertissement : Exposition « Spirou et la Shoah » : l’acmé de la marchandisation la plus vulgaire »
Le divertissement est un domain qui offre aux visiteurs une multitude d’options pour passer leur temps. Parmi celles-ci, on trouve également les expositions. Celle intitulée « Spirou et la Shoah » est l’un des plus célèbres et touchants.
L’exposition raconte l’histoire de ce dessiniste belge, Georges Bensoussan, qui a illustré des albums consacrés à la Shoah. Elle met en avant les atrocités commises durant cette période dévastatrice et témoigne du souffle révolutionnaire que représenta cette famine universelle.
L’exposition se trouve actuellement au musée d’art Moderne de Bruxelles. Elle est ouverte à la publicité jusqu’au 15 janvier 2019.
Au coeur des médias et de la culture, le divertissement dans les années 1990
Le divertissement est un élément clé de la société moderne. Il permet aux gens de se divertir et de passer un bon moment. Et pour les expositions, c’est tout l’opposé ! L’objectif de cette exposition est de montrer que le divertissement est associé à la Shoah. Les visiteurs vont voir des pièces du film Spirou et les huit cents coups, qui parlent de la Shoah, mais aussi des bronzes représentant des personnages juifs assassinés. La plupart des objets proviennent du musée d’Art et d’Histoire locale, qui a participé à l’exposition. Cette exposition est l’acmé de la marchandisation la plus vulgaire. Elle montre comment le divertissement est utilisé pour éviter de penser à la Shoah.
La Shoah : une expo pour tout le monde ?
« Divertissement : Exposition « Spirou et la Shoah »
L’acmé de la marchandisation la plus vulgaire ?
Georges Bensoussan
Le 20 juin dernier, l’exposition « Spirou et la Shoah » s’est déroulée au musée d’Art Moderne de Saint-Etienne. Cette exposition met en avant les œuvres d’Antoine De Strooper, qui est également l’auteur du fameux album « Spirou et les Drôles de Zones ». L’exposition se compose de plusieurs pièces dont un certain nombre réalisées pour des publics particuliers, voire pour le seul plaisir du coupable. Parmi ces œuvres figurent celles composées pour un usage spécial, comme le cas du « Pluie et neige sur la tête du pape » (1951), où Spirou est chargé d’effrayer François Ier en utilisant l’humour. Autre œuvre à caractère politique, « Les Derniers Jours de la Terre » (1963), met en scène une bataille ent
L’exposition « Spirou et la Shoah » de Georges Bensoussan à Paris comporte une salle dédiée au dessin animé, avec plus de 80 planches inédites datant de 1946 à 1972. Figurent notamment le premier épisode réalisé en France sur l’Holocauste, intitulé « Le train pour Auschwitz ». Cette exposition est sans conteste l’acmé de la marchandisation la plus vulgaire que l’on ait vue jusqu’à maintenant.