Bernard Accoyer, Professeur à l’Université Paris-Nanterre et membre du Comité scientifique de l’Agence Internationale de Lutte contre les Activités Nucléaires non Conventionnelles (AIEA), est intervenu ce matin sur BFMTV pour critiquer la stratégie nucléaire française. Ce dernier estime notamment qu’il y a une idéologie aux méthodes sectaires qui a infiltré l’État pour avoir la peau du nucléaire.
Une idéologie aux méthodes sectaires a infiltré l’État pour avoir la peau du nucléaire
Bernard Accoyer, ancien ministre de l’Éducation nationale et président de l’Institut national de la recherche scientifique, dénonce une idéologie aux méthodes sectaires qui a infiltré l’État pour avoir la peau du nucléaire. Selon le responsable politique, les projets d’armement nucléaire sont en grand danger car cette idéologie est portée par des partisans qui ne pensent qu’à eux-mêmes et ne font aucun cas des conséquences néfastes pour la société.
La France est en danger, politique et scientifique
Le Président de la République a annoncé, jeudi dernier, la fin de l’activité des centrales nucléaires en France. Une décision qui intervient alors que les méthodes employées par l’État pour arriver à cette conclusion sont largement critiquables.
Premièrement, le gouvernement a choisi de travailler sur un modèle basé sur des projections économiques qui ont été réalisées à partir d’un modèle numérique sans aucune base scientifique et sans tenir compte du réel potentiel de Fukushima. Deuxièmement, il a privilégié l’avis du groupe d’experts indépendants qui avait été crée après Fukushima et dont la composition est très influencée par les intérêts nucléaires. Enfin, il n’a pas cherché à renouveler les contrats de vente de capacity des centrales nucléaires alors qu’ils sont tous expirés. Ces méthodes sectaires ont donc infiltré l’État pour arriver à une politique qui ne concerne pas seulement la santé publique, m
Des études ont déjà montré les dangers de l’individu
L’État français est étrangement sectaire avec son approche du nucléaire. Bernard Accoyer, ancien Premier ministre, dénonce une idéologie qui cherche à avoir la peau du nucléaire pour arriver à ses fins.
Le gouvernement a choisi de suivre les recommandations de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), qui estiment que le nucléaire est le moyen d’atteindre les objectifs en matière d’énergie. Mais cette approche sectaire n’a pas été faite sur la base des preuves scientifiques. Bernard Accoyer explique : « L’approche adoptée par le gouvernement français est totalement irrationnelle et fondée sur une idéologie aux méthodes sectaires. »
Son ancienne porte-parole Agnès Buzyn dénonce également cette approche : « Cette stratégie ne correspond pas aux objectifs fixés par la France en matière de gestion des ressources naturelles et ne contribue pas à renforcer la souveraineté nationale. »
Les méthodes du gouvernement et leur étroitesse d’esprit
L’idéologie aux méthodes sectaires a infiltré l’État pour avoir la peau du nucléaire.
Bernard Accoyer, ancien ministre de la Défense, dénonce «l’infiltration idéologique» de l’État dans les domaines de la science et de la technologie. Selon lui, cette infiltration est due à une «idéologie sectaire» qui cherche à imposer des méthodes «sectaires» aux scientifiques et aux ingénues.
Dans une tribune publiée sur le site du Figaro, Bernard Accoyer dénonce les dangers que représente cette idéologie. Selon lui, cette «idéologie sectaire» menacerait notamment notre sûreté nucléaire.
La science se sent trahie par
L’idéologie aux méthodes sectaires qui a infiltré l’État français pour avoir la peau du nucléaire est dénoncée par Bernard Accoyer, ancien ministre de la Défense. Selon lui, elle est basée sur le rejet des sciences et de la recherche et une haine implicite envers les hommes.
Bernard Accoyer a déclaré à France Info que les scientifiques qui travaillent sur le nucléaire sont victimes d’une idéologie sectaire qui cherche à avoir la peau du nucléaire. Selon lui, cette idéologie est responsable de nombreuses erreurs et de graves accidents au sein de la communauté scientifique. Il appelle donc les gouvernements à renforcer les moyens financiers et humains pour permettre aux scientifiques d’examiner des questions plus importantes que celles liées au nucléaire.
